
Vivendi vise quelque chose de féroce pour Ubisoft.
J'interromps ma couverture du week-end sur les actualités de Waifus et de Nintendo pour vous proposer quelque chose avec un peu plus de sens commercial. Je sais, fou.
Il semble qu'Ubisoft soit la cible du conglomérat français Vivendi, et c'est une phrase très étrange à écrire. La solution ? Le gouvernement canadien (par l'intermédiaire du premier ministre Justin Trudeau) ainsi que d'autres investisseurs pour éviter la prise de contrôle.
Selon diverses sources, il semblerait que Vivendi recherche des actions Ubisoft pour gagner de plus en plus d'influence sur la société, puisque Vivendi vise une participation dans Ubisoft depuis l'automne dernier, lorsqu'il a acheté 7,36 millions d'actions de la société pour 161 millions de dollars. . Peu de temps après, Vivendi a augmenté sa participation dans la société à 10,39 pour cent, en s'intéressant également à la société de jeux mobiles Gameloft.
Le directeur d'Ubisoft, Yves Guillemot, a qualifié ces démarches de « non sollicitées et importunes », et la société riposte donc en contactant Trudeau et d'autres investisseurs qui promettent leur soutien. Selon Ubisoft, les employés de l'entreprise seraient bien mieux lotis chez Ubisoft sous le contrôle d'Ubisoft, comme le rapporte Eurogamer.
De toute évidence, il semble que les employés seraient mieux lotis dans une entreprise qui s'efforce de se protéger d'un groupe qui cherche à prendre le contrôle d'une autre entreprise par la force brute, mais seul le temps nous dira ce qui va finir par se passer. C'est une situation pour le moins curieuse.
Alimentée par l'horreur, les ruées vers le sucre arc-en-ciel et les jeux vidéo, Brittany est rédactrice en chef chez Shacknews qui se nourrit du surréalisme et de l'ultraviolence. Suivez-la sur Twitter @MolotovCupcake et consultez son portfolio pour en savoir plus. Comme l’a dit un jour un fabuleux jeu de tir, soyez excité !